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En réalité, je pleure chaque soir en pensant à toi. En pensant à nous, à ce qu'on était et ce qu'on ne sera jamais. Je pense à nos rêves qui se sont brisés, je pense à mon cœur qui palpitait quand je te voyais. Je pense à tes yeux qui me dévoraient, je pense à ta voix qui me disait à quel point tu m'aimais.
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" - Parfois j'ai du mal à te cerner, ai-je dis.
Elle ne m'a pas regardé. Elle a souris les yeux rivés sur l'écran.
- Tu ne me cerneras jamais, tout est là."
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